... pour nous livrer de belles photos (d'Alexis Rosenfeld) en action des systèmes de sauvetage utilisés par la sous-marinade française. C'est une femme, Alexie Valois, qui a pu enquêter sur ce monde en général peu ouvert sur l'extérieur, avec en prime, trois jours à bord du Saphir. On apprend, au détour du papier de la consoeur, que l'opération NSRS est en fait un partenariat public-privé mobilisant 70 MEUR sur dix ans, somme qui ne comprend pas, en outre, le prix de chaque sauvetage.
On apprend aussi qu'une première mondiale a été réalisée le 21 juin lors d'un exercice Ventilex : c'est un drone, Ulysse, qui a permis d'apporter de l'air à un sous-marin (espagnol). Ce dernier n'était pas, pour le coup, très profond -40 mètres- mais c'est l'intention et le procédé qui comptent.
Enfin, et c'est la troisième information du dossier, la marine recevra en 2011 un autre robot plus élaboré et "adapté "à cette manoeuvre " délicate".