Après un an d'exercice, le chef des armées passe la démultipliée, avec une séquence avec les armées.
par le journaliste Jean-Marc Tanguy - Twitter @Defense137 - 9253 posts depuis avril 2009 - 81,92 millions de pages vues depuis juin 2010.
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lundi 18 juin 2018
Emmanuel Macron honore les Compagnons
Hubert Germain et Daniel Cordier, deux des cinq derniers Compagnons de la Libération encore
mardi 27 février 2018
Le PR en immersion à Mourmelon
Le chef des armées se rendra jeudi dans le triangle des camps de Champagne pour assister à une
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mardi 16 janvier 2018
Que va faire E.Macron à Toulon ?
Comme ce blog l'avait expliqué il y a une dizaine de jours, Emmanuel Macron sera à Toulon
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mercredi 19 juillet 2017
Et maintenant, que va-t-il faire ?
Avec un CEMA qui lui coupe l'herbe sous le pied, moult interrogations dans la troupe et le haut
Il démissionne et pourtant il gagne
Il était assez évident, vu le contexte, que Pierre de Villiers ne serait plus le chef d'état-major des
dimanche 14 mai 2017
Défense : E.Macron imprime sa marque immédiatement
A ceux qui le disaient vierge dans la défense et sans expérience, Emmanuel Macron a tout de suite
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dimanche 30 octobre 2016
Sous les jupes de Cotam 001
Entré en service en 2010, l'avion présidentiel A330-200 qui répond à l'indicatif de Cotam 001 laissait
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lundi 25 juillet 2016
L'Arlésienne des mesures Sentinelle (actualisé)
Encore ce matin, le président de la République a annoncé de "nouvelles mesures" en faveur des
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mercredi 11 mars 2015
Un conseil de défense
Depuis le début de l'année, le président n'en finit pas de s'immerger dans la thématique défense (1) et
vendredi 9 janvier 2015
Voeux aux armées en format réduit
Les voeux du président de la République aux armées se tiendront dans un format réduit, et seul un
jeudi 24 juillet 2014
Le PR en océan Indien
Comme évoqué par ce blog la semaine dernière, le président de la République et chef des armées sera en
dimanche 31 mars 2013
Deux nouveaux sondages ci-contre (actualisé)
Ils sont réguliers sur ce blog, et constituent de petits thermomètres du ressenti du moment. Deux sondages ont été mis en ligne hier soir sur ce blog, ci-contre, pour une durée d'une semaine. Le premier livre déjà sa tendance : les internautes qui ont répondu doutent des promesses livrées à la télé par le président. Tandis que sans surprise, l'armée de terre semble la cible la plus évidente des réductions à venir. Déjà 1.000 votes, à vos souris, pour ajouter le vôtre.
Pour me suivre via Twitter : compte Defense 140
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jeudi 28 mars 2013
Le PR garantit le niveau budgétaire de la Défense mais...
Le président de la République a garanti ce soir sur France 2 le niveau du budget de la défense, ce qui n'exclura pas d'avoir à faire des choix, par ailleurs. En 2013, a-t-il dit,
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mercredi 6 février 2013
Serval : l'image dans l'image
Sur cette image distribué par la Défense (crédit EMA/ECPAD), on découvre un célèbre gros porteur russe, sur l'aéroport de Bamako, dit la légende, qui date cette photo du 31 janvier. Mais un coup de loupe permet aussi de voir, en l'air, un Falcon 7X de l'ETEC, le même qui a amené à... Bamako, le chef des armées et deux de ses ministres, le 2 février.
Erreur de lieu, de date... ou préparation d'une mission présidentielle, avec des abaques africaines à vérifier ?
Erreur de lieu, de date... ou préparation d'une mission présidentielle, avec des abaques africaines à vérifier ?
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vendredi 1 février 2013
Une visite au Mali
Le président, son ministre de la défense et celui des affaires étrangères s'envolent ce soir pour le Mali, à bord d'un Falcon 7X, selon mon confrère de BFM TV, Adrien Gindre. Le choix de cet avion compact peut sembler étonnant, mais le Falcon 7X se pose partout. Y compris à Tombouctou dont le terrain a été remis en état par le 17e RGP. Les journalistes et les personnels du GSPR étant déjà sur place, l'Airbus 330 traditionnellement utilisé pour ce type de déplacement n'était donc pas indispensable. Même présentant d'autres atouts.
Atout de taille, le GIGN est à Bamako depuis le 14 janvier, ce qui a considérablement réduit le temps nécessaire pour que les précurseurs du GSPR puissent se faire une idée du contexte. A l'origine, les gendarmes envoyés à Bamako devaient se charger de la sécurité des diplomates, mais ils en ont profité aussi pour auditer plusieurs sites de la représentation française dans la capitale.
Tant à Bamako qu'à Tombouctou, l'armée française va être très largement mobilisée. D'abord parce que tout avion est une cible lorsqu'il se pose et décolle. C'est pour cela que l'armée de l'air a, dès son arrivée à Bamako, mis en place un système de patrouilles extérieures sous le pilotage du CPA 20. C'est ce système, inspiré de celui mis en place à Kandahar, qui va, incidemment, profiter à l'arriver du président. Une compagnie entière de l'armée de terre (3e RIMa) est chargée de la sécurité de l'enceinte. A 1000 km de là, à Tombouctou, c'est encore en zone de guerre que se posera -a priori c'est sa première escale- le Falcon présidentiel. Sous une protection a priori 100% française.
Directement, ou indirectement, des militaires français seront demain en charge de la protection de leur commandant en chef. Alors qu'ils continuent à mener des opérations de guerre dans le nord du Mali.
(1) Après une attaque à l'explosif contre une ambassade à Nouakchott, la sécurité avait été théoriquement renforcée, mais l'administration étant ce qu'elle est, les réponses sont parfois assez lentes à s'adapter à la menace.
Atout de taille, le GIGN est à Bamako depuis le 14 janvier, ce qui a considérablement réduit le temps nécessaire pour que les précurseurs du GSPR puissent se faire une idée du contexte. A l'origine, les gendarmes envoyés à Bamako devaient se charger de la sécurité des diplomates, mais ils en ont profité aussi pour auditer plusieurs sites de la représentation française dans la capitale.
Tant à Bamako qu'à Tombouctou, l'armée française va être très largement mobilisée. D'abord parce que tout avion est une cible lorsqu'il se pose et décolle. C'est pour cela que l'armée de l'air a, dès son arrivée à Bamako, mis en place un système de patrouilles extérieures sous le pilotage du CPA 20. C'est ce système, inspiré de celui mis en place à Kandahar, qui va, incidemment, profiter à l'arriver du président. Une compagnie entière de l'armée de terre (3e RIMa) est chargée de la sécurité de l'enceinte. A 1000 km de là, à Tombouctou, c'est encore en zone de guerre que se posera -a priori c'est sa première escale- le Falcon présidentiel. Sous une protection a priori 100% française.
Directement, ou indirectement, des militaires français seront demain en charge de la protection de leur commandant en chef. Alors qu'ils continuent à mener des opérations de guerre dans le nord du Mali.
(1) Après une attaque à l'explosif contre une ambassade à Nouakchott, la sécurité avait été théoriquement renforcée, mais l'administration étant ce qu'elle est, les réponses sont parfois assez lentes à s'adapter à la menace.
Le CEMA, avant le PR
Le CEMA, avec un général du CPCO (photo EMA).
C'est une petite brève, presque camouflée dans le maquis de l'internet du ministère de la défense qui nous l'apprend : le CEMA a effectué une inspection de théâtre, ce 29 janvier. Il s'est rendu à Sévaré, Tombouctou, Gao. La discrétion a été totale, seule Europe 1, qui n'accompagnait pas le CEMA, en a parlé.
Cette visite, un temps évoquée à Niamey, a été annulée au profit d'une autre à Washington, mais on peut penser qu'un double facteur l'a finalement remise à l'agenda. D'une part la progression très rapide des troupes, d'autre part l'envie du président d'aller, comme son prédécesseur à Benghazi et Tripoli, visualiser l'effet des décisions prises à Paris.
Ce déplacement-ci était l'objet de chuchotements depuis plusieurs jours, il vient d'être confirmé par l'Elysée.
Evidemment, une telle visite va mettre les services de sécurité, dont le GSPR, sur les dents. Des unités et des moyens engagés dans les opérations vont probablement aussi devoir être détournées de leur mission. Mais les visites de présidents sur les théâtres d'opération ne sont pas si courantes. François Hollande, comme Nicolas Sarkozy, s'était déjà rendu en Afghanistan.
En Libye, le premier ministre britannique était sur la photo, consécration du tour franco-britannique des opérations. Cette fois, on devrait rester entre Français. O tempora, o mores.
mercredi 16 janvier 2013
La promesse de la semaine
"Nous ne cherchons pas qui vous informe. Ce serait un très mauvais
calcul (...) On découvrirait souvent que c'est du plus haut niveau que
l'information vient."
François Hollande aux journalistes, cité dans le Point.fr., lors de ses voeux à la presse, le 16 janvier.
En son temps, Nicolas Sarkozy avait, lui, dit ceci sur un sujet presque identique :
"Expliquez-moi, quel est l'intérêt, pour un homme doté d'un bon sens minimum, d'avoir cette idée étrange d'écouter un journaliste qui écrit tous les jours dans la presse, quel est l'avantage ? (...) Jamais, à aucun moment, d'aucune façon, je ne me préoccupe, de près ou de loin des téléphones, des lieux, des rencontres des journalistes français et étrangers".
Nicolas Sarkozy, sur France 2, le 20 novembre 2010
François Hollande aux journalistes, cité dans le Point.fr., lors de ses voeux à la presse, le 16 janvier.
En son temps, Nicolas Sarkozy avait, lui, dit ceci sur un sujet presque identique :
"Expliquez-moi, quel est l'intérêt, pour un homme doté d'un bon sens minimum, d'avoir cette idée étrange d'écouter un journaliste qui écrit tous les jours dans la presse, quel est l'avantage ? (...) Jamais, à aucun moment, d'aucune façon, je ne me préoccupe, de près ou de loin des téléphones, des lieux, des rencontres des journalistes français et étrangers".
Nicolas Sarkozy, sur France 2, le 20 novembre 2010
vendredi 21 décembre 2012
L'armée d'Afghanistan chez le PR
"Mission accomplie" a dit le chef des armées aux militaires présents (photos Jean-Marc Tanguy)
Une petite armée française en réduction était chez le président de la République et chef des armées ce matin. Une cinquantaine de militaires a été reçue dans le salon d'hiver aux moquettes porteuses de roses. Un signe de "reconnaissance" présidentiel qui a touché les militaires que nous avons croisés sur place. Les mêmes ont rappelé, néanmoins, que les opérations n'étaient cependant pas terminées, et que le risque demeure, pour les 1500 qui restent.
Comme il l'avait fait le 11 novembre, le président a évoqué la mémoire de 88 morts, la souffrance des plus de 700 blessés. Et rappelé que la République ne les oublie pas, pas plus que leurs familles.
Il a aussi redit toute a confiance aux présents, en rappelant que les compétences des militaires seraient encore mises à profit. Chacun a pensé avec son système de références, au Sahel, à la Syrie, pour ne citer que les plus évidents.
On ignore suivant quelle alchimie les présents ont été choisis, mais c'est un échantillon à peu près représentatif des derniers vétérans ayant quitté l'Afghanistan : des représentants des 16e BC et 92e RI, qui formaient le coeur des deux derniers GTIA. Bien représenté, le GTIA Acier, avec le capitaine qui fermé Tagab puis Nijrab. Les appuis n'ont pas été oubliés, comme les cavaliers du 501e RCC, les sapeurs du 13e RG, mais aussi la logistique, avec une représentante du 517e RT. Etonamment, les hélicoptéristes étaient peu présents, avec un pilote de Tigre (1) et un mécanicien du 1er RHC.
Un sous-officier du SEA, et plusieurs gendarmes, anciens POMLT, faisaient aussi partie de l'assistance. Trois personnels de santé figuraient aussi parmi les troupes : un ancien médecin de Nijrab, un infirmier blessé en allant secourir l'ADC Franck Bouzet, en août dernier, et un convoyeur de l'air.
Longuement écoutés par leur CEMM, les commandos marine ont pu constater qu'ils étaient les seuls représentants des forces spéciales. Du côté de l'armée de l'air, deux représentants du CPA 20, un pilote de Mirage 2000D, un chasseur intelligent et un ancien J3 Air.
(1) auteur d'un livre à sortir en janvier.
François Hollande rencontre le chef de corps du 16e BC et les personnels qui ont désengagé Tagab puis Nijrab.
Le 92e RI a ferrmé Tora, puis sécurisé Naghlu, avant de se recentrer sur la protection de Warehouse.
Le panel des formations représentées étaient large, à l'image de ce que sont les opérations. Ici une logisticienne du 517e RT.
vendredi 27 juillet 2012
Le général Paloméros ira à SACT
La présidence de la république a validé par écrit le départ du général Jean-Paul Paloméros, actuel CEMAA, pour le poste de SACT, à Norfolk. Il y succèdera au général Stéphane Abrial, précédent CEMAA, et dont le général Paloméros avait été l'adjoint, à l'EMAA.
Cette nomination devrait être confirmée dans une livraison prochaine du journal officiel, ainsi que, cela va de pair, celle de son successeur.
SACT est la fonction la plus élevée dans la hiérarchie des postes français à l'OTAN. La France l'avait décrochée après avoir réintégré le commandement intégré de l'OTAN.
L'actuel président a lancé, simultanément au Livre Blanc, une mission d'expertise sur les conséquences de cette réintégration, confié à l'ancien ministre des affaires étrangères, Hubert Védrine, qui ne passe pas pour un pro-otanien.
Cette nomination devrait être confirmée dans une livraison prochaine du journal officiel, ainsi que, cela va de pair, celle de son successeur.
SACT est la fonction la plus élevée dans la hiérarchie des postes français à l'OTAN. La France l'avait décrochée après avoir réintégré le commandement intégré de l'OTAN.
L'actuel président a lancé, simultanément au Livre Blanc, une mission d'expertise sur les conséquences de cette réintégration, confié à l'ancien ministre des affaires étrangères, Hubert Védrine, qui ne passe pas pour un pro-otanien.
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