Après les consignes du président, répercutées par le premier ministre, le ministre de la Défense à retaillé son cabinet à 20 personnes (contre 27 auparavant), la norme admise par François Fillon (1). Le changement est visible sur le site internet du cabinet -la mise à jour a été faite le 2 juillet-, qui évidemment, ne donne pas les noms et fonctions des disparus. Comme ce blog ne refuse aucun sacrifice, les voici, dans l'ordre alphabétique : l'ancien député Arthur Paecht, chargé de mission auprès des directeurs, Vianney Basse, conseiller diplomatique adjoint, Férréol Ract-Madout, conseiller pour les affaires budgétaires, Emmanuelle Maréchal Gilbert, conseiller pour les affaires culturelles (le poste qui fut tenu par Morin, dans le cabinet de François Léotard), Alexandre Geoffroy, conseiller technique pour la modernisation du ministère de la Défense, Barthélémey Champanhet, conseiller technique, et Philippe Tanguy, un des deux conseillers techniques pour la presse que comptait le cabinet, mais aussi un des plus anciens membres du cabinet (2).
Le cabinet du SEDAC, lui, reste à neuf membres (quatre autorisés par le Premier ministre), si l'on en croit, en tout cas, le site du SEDAC, et son espace sur le site du premier ministre : les deux sources concordent.
(1) mais 22 noms si l'on s'en réfère à la liste produite sur le propre site du premier ministre.
(2) je rassure les sinistres, je n'ai aucune parenté avec Philippe Tanguy, je n'ai que de l'estime pour cet excellent professionnel de la communication de crise. Son absence est d'ores et déjà visible.
Le cabinet du SEDAC, lui, reste à neuf membres (quatre autorisés par le Premier ministre), si l'on en croit, en tout cas, le site du SEDAC, et son espace sur le site du premier ministre : les deux sources concordent.
(1) mais 22 noms si l'on s'en réfère à la liste produite sur le propre site du premier ministre.
(2) je rassure les sinistres, je n'ai aucune parenté avec Philippe Tanguy, je n'ai que de l'estime pour cet excellent professionnel de la communication de crise. Son absence est d'ores et déjà visible.