En Afghanistan, la TF Altor, formée par le 2e REP, le 35e RAP, le 1er RHP et le 17e RGP vient de s'installer en Surobi. Certains membres de la TF Dragon, les artilleurs du 3e RAMa par exemple, auront ainsi passé près de 7 mois -un record- sur le théâtre.
Sur ce même théâtre, le bataillon hélicoptères est également lui aussi en relève partielle, puisqu'en fait, vu les unités engagées (pas moins de cinq pour seulement 146 personnels), les relèves sont quasi-continues. D'autant que les rythmes ne sont pas les mêmes selon les spécialités, et les armées. Les navigants ALAT passent trois mois sur place, mais leurs effectifs sont calculés au plus juste : un équipage par appareil.
Le Detchasse de Kandahar entrera également en relève, dans quelques jours. Les navigants sont relevés tous les deux mois. Le nombre d'équipages est là plus important, ce qui évite de voler tous les jours.
Rappelons que c'est la 3e BM qui relèvera la 27e BIM à l'état-major de la brigade La Fayette.
Au Liban, ce sont les Diables Rouges du 152e RI qui vont bientôt débarquer, nous apprennent les DNA, ce matin. 500 militaires qui partent avec leurs treillis Félin précise le quotidien régional. Le 1er RTir devrait leur succéder, au printemps.
Au Kosovo, enfin, c'est le 8e RPIMa qui forme l'épine dorsale du battle group nord, depuis quelques jours.
Il ne faut pas l'oublier, toutes ces relèves impactent fortement la flotte d'appareils de l'armée de l'Air, chargée des relèves : trois A310 et deux A340 du 3.60 "Estérel" de Creil. Un grain de sable -comme l'A310 resté plus longtemps que prévu aux Antilles, initialement il était là pour une relève- ou une panne impactant évidemment tous ces cycles.
Notre photo : Le 3.60 a fêté ses quarante ans l'an dernier. Ses avions blancs qui parcourent le monde sont basés à Roissy, même si l'escadron, lui, est implanté sur le BA110. Ici, un des deux 340 lors d'une VAM Douchanbe-CDG, en novembre dernier (crédit : JMT)
Sur ce même théâtre, le bataillon hélicoptères est également lui aussi en relève partielle, puisqu'en fait, vu les unités engagées (pas moins de cinq pour seulement 146 personnels), les relèves sont quasi-continues. D'autant que les rythmes ne sont pas les mêmes selon les spécialités, et les armées. Les navigants ALAT passent trois mois sur place, mais leurs effectifs sont calculés au plus juste : un équipage par appareil.
Le Detchasse de Kandahar entrera également en relève, dans quelques jours. Les navigants sont relevés tous les deux mois. Le nombre d'équipages est là plus important, ce qui évite de voler tous les jours.
Rappelons que c'est la 3e BM qui relèvera la 27e BIM à l'état-major de la brigade La Fayette.
Au Liban, ce sont les Diables Rouges du 152e RI qui vont bientôt débarquer, nous apprennent les DNA, ce matin. 500 militaires qui partent avec leurs treillis Félin précise le quotidien régional. Le 1er RTir devrait leur succéder, au printemps.
Au Kosovo, enfin, c'est le 8e RPIMa qui forme l'épine dorsale du battle group nord, depuis quelques jours.
Il ne faut pas l'oublier, toutes ces relèves impactent fortement la flotte d'appareils de l'armée de l'Air, chargée des relèves : trois A310 et deux A340 du 3.60 "Estérel" de Creil. Un grain de sable -comme l'A310 resté plus longtemps que prévu aux Antilles, initialement il était là pour une relève- ou une panne impactant évidemment tous ces cycles.
Notre photo : Le 3.60 a fêté ses quarante ans l'an dernier. Ses avions blancs qui parcourent le monde sont basés à Roissy, même si l'escadron, lui, est implanté sur le BA110. Ici, un des deux 340 lors d'une VAM Douchanbe-CDG, en novembre dernier (crédit : JMT)
