"Les experts de la DGA ont pu ainsi accompagner l'expertise conduite sur les drones tactiques après les incidents rencontrés durant l'été." Déclaration brève du DGA, Laurent Collet-Billon, face aux sénateurs, qui pourrait se rapporter, selon nos sources, à des déclenchements intempestif d'airbags des SDTI, au moment du catapultage, apparemment rencontrés à plusieurs reprises, et réglés, depuis, notamment grâce au... catapultage, de France, d'ingénieurs de l'armement (1).
L'autre plus du Mamouth :
8 missions ont déjà été accomplies par onze personnels DGA en Afghanistan, pour les drones, le soutien des Rafale, la post-qualification de l'AASM ou l'adaptation réactive aux IED. Le premier de ces périples avait été effectué par un ingénieur (féminin) du centre d'essais en vol d'Istres, sur la base aérienne de Kandahar, pour régler les radios des Rafale du 1.7 "Provence". Elle était accompagné pour l'occasion par un sous-officier du CEAM de Mont-de-Marsan, ce qui démontre que l'intégration fonctionne.
(1) sans trop entrer dans les détails, où, s'est bien connu, niche le diable, le CEMAT évoque dans sa propre audition au Sénat "deux incidents techniques" de SDTI.