Malgré une empreinte logistique relativement faible, les aéronefs de combat déployés par l'armée de l'Air en opérations voient leur nombre baisser significativement. Après le rezzou rebelle, on est ainsi passé de six Mirage F1, à quatre, au Tchad (-30%). Même si ce plot est renforçable assez rapidement, de métropole, et que les conditions climatiques rendent par ailleurs une attaque assez peu probable.
Ce blog vous l'a aussi révélé, il n'y a plus d'ATT de l'armée de l'Air en Côte d'Ivoire.
Des Casa 235 actuellement déployés dans les DOMTOM vont aussi être rapatriés en métropole, pour pouvoir pallier les retards de l'A400M. Un des appareils des Antilles doit ainsi rejoindre la France (si ce n'est déjà fait), et un de Nouvelle Calédonie pourrait suivre le même chemin assez vite.
La question des moyens héliportés (à dominante SAR) basés dans les DOMTOM restant posée, puisque jusqu'à maintenant, l'Intérieur, qui devait prendre la relève, n'a pas encore trouvé les sous pour le faire. Alors que les plans étaient semble-t-il trouvés par Matignon, en octobre, tout a changé avec la crise économique. A l'époque, la Marine devait reprendre à l'armée de l'Air la Polynésie (avec deux à trois Dauphin... loués) et la Nouvelle Calédonie tandis que la Sécurité civile envisageait de remplacer les aviateurs dans les Antilles et à La Réunion.