La DPSD va, comme toutes les autres composantes de la défense, devoir adapter ses effectifs avec des mouvements portant sur 135 postes, soit presque 1 sur 5, sur un total de treize structures différentes. Le mouvement va vraiment commencer l'an prochain, et s'étaler jusqu'en 2014, en province et outremer. Cinq détachements sont tout simplement dissous : Limoges (7 postes), Marseille (15 postes), Montpellier (12), Villacoublay (9) et Villingen (6).
Le détachement de Compiègne (10) est quant à lui transféré.
Du côté des antennes, celle de Creil (4) est transférée, celle de Pointe-à-Pitre (-2), dissoute, du fait de la disparition des moyens militaires aux Antilles, avec celle de Luxeuil (3), qui veillait sur la base (nucléaire) éponyme.
Ensuite, dans les postes spécialisés, il va y avoir aussi quelques évolutions. Le poste de l'ilôt Saint-Germain (14), qui veille sur quelques beaux secrets est restructuré, tout comme celui de la cité de l'Air, implanté sur le site du futur Balardgone. Le poste marine, sis à Malakoff, est lui, transféré.
Enfin, la DPSD francilienne (25), implantée à Reuilly avec le bureau de recrutement, se voit elle transférée.