76% des 1.257 répondants au sondage de la semaine indiquent que pour eux, la menace représentée par AQMI justifie un déploiement durable de troupes françaises au Sahel. Un résultat atteint, comme souvent, dès les premières heures du sondage.
Même s'il reste évidemment couvert par une certaine discrétion, l'engagement des moyens français au Sahel est déjà très important, notamment en moyens aériens -peut-être une dizaine d'avions de transport d'assaut (ATA), des hélicoptères et vraisemblablement, des unités spécialisées. Côté renseignement, on a évoqué très tôt l'engagement de trois ATL-2 de la marine.