Après les malheurs arrivés, dit-on, à un Caracal lors de son transfert par Antonov en Afghanistan, l'armée a pris les devants, cette fois-ci, en faisant accompagner les Tigre. Pour des raisons essentiellement d'assurance, les vols Antonov ne font pas l'objet d'accompagnement, sauf quand il s'agit de fret particulièrement sensible.