BP et du COS, ainsi que les unités de commandos de l'armée de l'air, on se met à l'EPC, sensé apporter plus de pilotabilité et de charge utile aux parachutistes, qui peuvent aussi sauter d'encore plus bas. Un thème qui deviendra peut-être d'actualité, en RCA, où on ne peut que constater les concentrations actuelles de parachutistes, qui doivent encore s'accroître demain. Des mini-OAP ne sont donc pas à exclure (1).
Cela pourrait, de surcroît amener l'onction des opérations à l'EPC, qui, sauf erreur, n'y a pas encore eu droit, les sauts au Mali, en 2013, ayant été réalisés avec les anciens modèles. Sur la photo ci-dessous, un parachutiste du 2e REP équipé avec cet EPC : un para emblématique, puisque c'est un des derniers en activité à avoir sauté sur Kolwezi (2). Il fête, ce jour, ses 56 ans, dont 36 en Légion. Et 26 au 2e REP.
(photo 2e REP)
(1) ce terme générique regroupant, je le rappelle, les parachutages, les posers d'assaut et les opérations héliportées (mais il n'y aura que quatre malheureux Puma en RCA a priori...)
(2) un autre étant le général Benoît Puga.