Oubliée comme d'habitude dans les opérations du ministère de l'Intérieur, l'évocation de l'action des
par le journaliste Jean-Marc Tanguy - Twitter @Defense137 - 9253 posts depuis avril 2009 - 81,92 millions de pages vues depuis juin 2010.
lundi 30 novembre 2015
Et la COP21, qui la protège ?
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Ne l'appelez plus BFS
Le bureau des forces spéciales (BFS) du commandement des forces aériennes (CFA) de Bordeaux
Le RAID se met au Titus pour la COP21
L'unité d'élite de la police s'est fait prêter un Titus de Nexter, avec deux drones, pour la COP21. Plus
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Trois compagnies en Sentinelle
Comme la plupart des régiments de l'armée de terre qui ne sont pas en opex, le 2e REP fournit
Noël couleur désert pour le 2e REP
Le 2e régiment étranger de parachutistes va connaître une petite révolution d'ici Noël, avec la
samedi 28 novembre 2015
In mémoriam : SGC Alexis Guarato (CPA10)
Il avait commencé dans l'armée de l'air comme agent de télécommunications, il y a quatorze ans.
C-130 : le SIAe va assurer le MCO
C'est le compte-rendu du conseil de surveillance du SIAe qui nous l'apprend : le service va récupérer
Le CPA10 perd un de ses chuteurs
C'était dans la nuit de mercredi à jeudi : le sergent-chef Alexis Guarato a livré son dernier combat.
lundi 23 novembre 2015
Un drôle de Raqqa express
Encore ce soir, la chasse française a tiré ses bombes sur Raqqa, à 19h30 (heure de Paris). Deux
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Les CTLO de Bamako
Au moins deux des filières historiques de contre-terrorisme et libération d'otages étaient présentes la
Les pontées du Charles
Voici quelques images choisies diffusées ce soir par l'EMA pour illustrer les missions du jour. Trois
Chammal dépasse largement les 3500 annoncés
Un groupe aéronaval consomme en moyenne 2500 marins, mais ici, beaucoup plus : 1950 à bord du
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Syrie
Il y a triplement et triplement
Si l'arrivée du Charles-de-Gaulle a multiplié par trois le nombre de chasseurs dans la sous-région, la
L'EMA dans le grand bain (numérique)
LE CEMA lui-même l'avait reconnu face aux parlementaires et aux élus, et encore au forum de
Le 3e combat du LCL Catelain
Le LCL Laurent Catelain a été grièvement blessé par un IED dans le Parwan, le 4 août 2011, alors qu’il effectuait sa reco avant son mandat d’OMLT. Il publie un livre incontournable sur la blessure (« Amputez docteur », Editions Mélibée) dans lequel il raconte trois ans de combat dont, celui, encore étonnant, contre les systèmes d’indemnisation
Comment en êtes-vous arrivé à écrire ?
J’étais resté dans le coma, et il fallait écrire avant d’oublier. Puis c’est devenu thérapeutique, pour passer mes colères. Mes amis, mes médecins, m’ont encouragé à le faire. J’ai d’abord écrit un premier plan dont je n’étais pas content, puis un deuxième, celui qui a donné le livre. Je l’ai écrit entre février et juillet 2014 puis il a fallu un an pour le corriger.
Quelles réactions votre livre a suscité chez vos camarades militaires, et parmi les civils, qui ne connaissent pas vraiment ce que vous vivez ?
De la part de mes camarades, j’ai eu un super retour. Je suis assez content de moi. Mais tout le monde est surpris par l’intensité des douleurs qu’on a vécues avec mon épouse qui a toujours été à mes côtés. Je ne laissais rien transparaître. Ils ont mesuré la force de cette souffrance avec le livre.
Quels conseils donneriez-vous à d’autres blessés qui sont confrontés au même choix d’amputation que vous ? Et aux centaines de blessés civils des derniers attentats ?
Oui ce livre s’adresse aussi à ceux qui doivent prendre une décision. Donc il s’adresse aussi aux centaines de blessés de vendredi. Les blessures par balles, c’est toujours moche, il y a aura beaucoup d’amputations. Les balles amènent dans le corps aussi des germes, qui infectent les blessures. La décision de l’amputation doit se prendre à un moment. On fait un cheminement thérapeutique : est-ce qu’on passe à la vitesse supérieure et on accepte l’amputation avec une prothèse, ou de rester avec un membre mort, et des opérations qui se succèdent.
Comment avez-vous été appareillé ? Avec les fameuses prothèses bioniques ?
Non, cela ne concerne pas mon type d'amputation, j’ai une prothèse en carbone et je veux rester rustique.
Vous continuez à faire du sport ?
Les mêmes qu’avant ! Tout ce qui peut se faire en montagne : randonnées, escalade, vélo, parapente. Je ne fais plus de piscine car c’est assez compliqué à gérer matériellement, il faut enlever la prothèse, prendre un fauteuil pour aller jusqu’au bain, etc… Je fais tout comme avant, il faut juste avoir une prothèse adaptée aux sports que l’on pratique.
Vous êtes en contacts avec d’autres blessés ?
Tous les blessés de la brigade de montagne, et ceux que j’ai rencontrés pendant mes hospitalisations à Percy. On se donne beaucoup de conseils les uns les autres et c’est essentiel pour le 3e combat, celui contre l’administration, dans lequel je suis encore. Il n’y a pas de guichet unique. J’ai dû prendre un avocat pour avoir gain de cause avec mon assurance militaire. Personne n’est content du système, c’est le problème de tous les blessés, chacun doit prendre un avocat. Les valides n’arrivent pas à comprendre nos problèmes, ce qu’on fait mieux entre blessés. Très vite, le blessé veut redevenir valide. Je me considère comme valide aujourd’hui, j’ai contracté une réserve citoyenne à Chamonix, à l’EMHM, au sein de la DEP, car je ne pouvais pas être réserviste opérationnel.
Vous revoyez-vous reprendre une activité complète ?
Je veux m’occuper, mais plus travailler. J’ai une bonne retraite. Je veux m’impliquer dans la vie de la société, ce qu’on ne peut pas faire quand on est militaire. Peut-être prendre un mandat électif local, m’engager dans une association. Mais je veux rester libre de ce que je veux faire.
Comment votre famille a traversé cette épreuve ?
Mes enfants étaient déjà grands quand j’ai été blessé. Ils m’avaient déjà vu à l’hôpital, suite à des blessures de montagne, de parapente. Mais avant de partir pour ce troisième Afghanistan, on avait eu une prémonition. L’amputation a été une décision douloureuse à prendre, mais les 400 premiers premiers mètres que j’avais faits avec une canne, en 2013, quand j’avais repris le travail, avaient été une épreuve.
Vos voisins, vos concitoyens connaissent votre histoire, quel est leur regard sur vous ? Certains, oui. Mais quand je porte un pantalon, personne ne voit que j’ai une prothèse. Des camarades ont appris ce qui m’était arrivé suite à un article dans armées d’aujourd’hui. Le problème avec les blessés militaires est qu’on est cachés, soit disant pour nous protéger.
Votre témoignage ressemble à celui d’un autre blessé de la brigade, Jocelyn Truchet, ce que vous y vivez vous prépare-t-il mieux à ce qui se passe après la blessure ?
Je pense que la montagne nous forge un caractère, une volonté, un niveau physique. On se remet en cause tous les ans. La montagne, c’est dur. Et ça forge. C’est comme la mer, on est face à l’immensité.
Vos subordonnés sont déployés actuellement sur tout l’arc de crise : vous gardez un œil sur eux ? Vous êtes fier de leur niveau ?
Je reste en contact avec mes équipes. J’ai écrit une petite page de l’unité, que j’ai remanié à ma patte quand je l’ai pris, en améliorant le niveau en haute montagne, grâce au GMHM, au combat, avec le GIGN, et au renseignement. Je regrette juste qu’on ne l’utilise pas mieux.
Vous avez pu refaire votre ascension du Mont Blanc ?
Je m’y suis entraîné cet été, ce sera pour l’an prochain.
Comment en êtes-vous arrivé à écrire ?
J’étais resté dans le coma, et il fallait écrire avant d’oublier. Puis c’est devenu thérapeutique, pour passer mes colères. Mes amis, mes médecins, m’ont encouragé à le faire. J’ai d’abord écrit un premier plan dont je n’étais pas content, puis un deuxième, celui qui a donné le livre. Je l’ai écrit entre février et juillet 2014 puis il a fallu un an pour le corriger.
Quelles réactions votre livre a suscité chez vos camarades militaires, et parmi les civils, qui ne connaissent pas vraiment ce que vous vivez ?
De la part de mes camarades, j’ai eu un super retour. Je suis assez content de moi. Mais tout le monde est surpris par l’intensité des douleurs qu’on a vécues avec mon épouse qui a toujours été à mes côtés. Je ne laissais rien transparaître. Ils ont mesuré la force de cette souffrance avec le livre.
Quels conseils donneriez-vous à d’autres blessés qui sont confrontés au même choix d’amputation que vous ? Et aux centaines de blessés civils des derniers attentats ?
Oui ce livre s’adresse aussi à ceux qui doivent prendre une décision. Donc il s’adresse aussi aux centaines de blessés de vendredi. Les blessures par balles, c’est toujours moche, il y a aura beaucoup d’amputations. Les balles amènent dans le corps aussi des germes, qui infectent les blessures. La décision de l’amputation doit se prendre à un moment. On fait un cheminement thérapeutique : est-ce qu’on passe à la vitesse supérieure et on accepte l’amputation avec une prothèse, ou de rester avec un membre mort, et des opérations qui se succèdent.
Comment avez-vous été appareillé ? Avec les fameuses prothèses bioniques ?
Non, cela ne concerne pas mon type d'amputation, j’ai une prothèse en carbone et je veux rester rustique.
Vous continuez à faire du sport ?
Les mêmes qu’avant ! Tout ce qui peut se faire en montagne : randonnées, escalade, vélo, parapente. Je ne fais plus de piscine car c’est assez compliqué à gérer matériellement, il faut enlever la prothèse, prendre un fauteuil pour aller jusqu’au bain, etc… Je fais tout comme avant, il faut juste avoir une prothèse adaptée aux sports que l’on pratique.
Vous êtes en contacts avec d’autres blessés ?
Tous les blessés de la brigade de montagne, et ceux que j’ai rencontrés pendant mes hospitalisations à Percy. On se donne beaucoup de conseils les uns les autres et c’est essentiel pour le 3e combat, celui contre l’administration, dans lequel je suis encore. Il n’y a pas de guichet unique. J’ai dû prendre un avocat pour avoir gain de cause avec mon assurance militaire. Personne n’est content du système, c’est le problème de tous les blessés, chacun doit prendre un avocat. Les valides n’arrivent pas à comprendre nos problèmes, ce qu’on fait mieux entre blessés. Très vite, le blessé veut redevenir valide. Je me considère comme valide aujourd’hui, j’ai contracté une réserve citoyenne à Chamonix, à l’EMHM, au sein de la DEP, car je ne pouvais pas être réserviste opérationnel.
Vous revoyez-vous reprendre une activité complète ?
Je veux m’occuper, mais plus travailler. J’ai une bonne retraite. Je veux m’impliquer dans la vie de la société, ce qu’on ne peut pas faire quand on est militaire. Peut-être prendre un mandat électif local, m’engager dans une association. Mais je veux rester libre de ce que je veux faire.
Comment votre famille a traversé cette épreuve ?
Mes enfants étaient déjà grands quand j’ai été blessé. Ils m’avaient déjà vu à l’hôpital, suite à des blessures de montagne, de parapente. Mais avant de partir pour ce troisième Afghanistan, on avait eu une prémonition. L’amputation a été une décision douloureuse à prendre, mais les 400 premiers premiers mètres que j’avais faits avec une canne, en 2013, quand j’avais repris le travail, avaient été une épreuve.
Vos voisins, vos concitoyens connaissent votre histoire, quel est leur regard sur vous ? Certains, oui. Mais quand je porte un pantalon, personne ne voit que j’ai une prothèse. Des camarades ont appris ce qui m’était arrivé suite à un article dans armées d’aujourd’hui. Le problème avec les blessés militaires est qu’on est cachés, soit disant pour nous protéger.
Votre témoignage ressemble à celui d’un autre blessé de la brigade, Jocelyn Truchet, ce que vous y vivez vous prépare-t-il mieux à ce qui se passe après la blessure ?
Je pense que la montagne nous forge un caractère, une volonté, un niveau physique. On se remet en cause tous les ans. La montagne, c’est dur. Et ça forge. C’est comme la mer, on est face à l’immensité.
Vos subordonnés sont déployés actuellement sur tout l’arc de crise : vous gardez un œil sur eux ? Vous êtes fier de leur niveau ?
Je reste en contact avec mes équipes. J’ai écrit une petite page de l’unité, que j’ai remanié à ma patte quand je l’ai pris, en améliorant le niveau en haute montagne, grâce au GMHM, au combat, avec le GIGN, et au renseignement. Je regrette juste qu’on ne l’utilise pas mieux.
Vous avez pu refaire votre ascension du Mont Blanc ?
Je m’y suis entraîné cet été, ce sera pour l’an prochain.
vendredi 20 novembre 2015
Les Sentinelle de vendredi (actualisé)
Avant de devoir regagner son bureau pour suivre la prise d'otages de Bamako depuis l'hôtel de
Une réunion historique (ou presque)
GIGN et COS se sont retrouvés au même endroit, aujourd'hui, au Mali, pour assister les autorités
mercredi 18 novembre 2015
Sur les bossoirs des FREMM...
Le dossier de presse de la mission Arromanches 2 l'annonce sans le claironner : l'ECUME, la
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Chaleur et lumières
Des membres de l'opération Sentinelle ont à nouveau été déployés dans le nord de Paris, tandis que le
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mardi 17 novembre 2015
Un tour en Rafale et Mirage 2000 sur la Syrie (actualisé)
La chasse française a remis le couvert en Syrie la nuit dernière et ce soir, sans doute pour faire mentir
lundi 16 novembre 2015
Les voies de la réinsertion pour les blessés psychiques
Malgré un agenda surchargé par les conséquences des attaques de vendredi, le gouverneur militaire
Un peu plus de détails des frappes
Selon la version développée par l'EMA ce matin, six Rafale (soit la totalité de ce qui est disponible
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A la recherche des C2
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Un raid panaché
Une observation attentive des images du raid d'hier sur Raqqa permet de l'affirmer, l'armée de l'air a
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Un trio de colonels pilote Sentinelle
Ils sont trois, et détiennent encore plus d'hommes que dans leur régiments : les chefs de corps des
dimanche 15 novembre 2015
Mirage et Rafale sur Raqqa (video)
A la veille d'un rendez-vous avec les parlementaires français, c'est le message de François Hollande
Une guerre ? Mais avec quoi ?
Les discours belliqueux risquent de buter assez vite sur une réalité technique : les opex à répétition et
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samedi 14 novembre 2015
Avec les équipes de secours de la BSPP (vidéo)
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Le 3e RPIMa, de Madama à Lutécia
Ils étaient en fin d'année dernière à Madama (Niger), en face des groupes terroristes et trafiquants qui
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Accueil des blessés graves : la contribution du HIA Percy
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Les attaques entament le Guépard Para
Depuis le début de Sentinelle, le guépard n'a plus qu'un bataillon d'infanterie, au lieu des deux
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C'est devenu une habitude depuis l'arrivée de François Hollande à l'Elysée : les conseils de défense
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1500 militaires de plus dans les rues
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Le PR annonce l'état d'urgence
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vendredi 13 novembre 2015
Attentats : une quinzaine de morts
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C'est le sénateur de Paris et conseiller du 7e arrondissement qui en a fait la proposition au CEMAT,
jeudi 12 novembre 2015
Un blessé psychique en CDI chez RTD
Après un stage d'immersion chez l'industriel, il signera son contrat de travail chez le GMP, lundi : un
mercredi 11 novembre 2015
Le Pentagone ok pour 2 C-130J et 2 KC-130JG
Grâce à mon excellent et méticuleux camarade Philippe Chapleau, on sait désormais que le
mardi 10 novembre 2015
Des bourses contre un contrat
C'est l'amiral Bernard Rogel qui l'a évoqué devant les sénateurs : la marine réfléchit à la mise en
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L'EMA diffuse ce soir une vidéo illustrant la mission de bombardement d'hier en Syrie, qui montre à
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L'armée de l'air a encore réalisé deux frappes distinctes en Syrie cette nuit, vient de révéler le ministre
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lundi 9 novembre 2015
De l'audace, toujours de l'audace
Le centre d'études stratégiques aérospatiales (CESA) organise le 17 novembre un colloque consacré à
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Encore des armes dans l'Adrar
L'armée malienne et Barkhane continuent leur ratissage de l'Adrar des Ifoghas, qui reste encore une
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A Dakar, le 2e forum Paix et Sécurité
Le deuxième forum Paix et Sécurité vient de s'ouvrir à Dakar. Les 300 auditeurs de 2015 sont
dimanche 8 novembre 2015
L'Amiral Ronarc'h de retour à la maison-mère
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Pas encore d’attrition au STAC
Ils étaient une centaine pour la sélection, seuls 20% ont réussi à passer l’écrémage initial du stage
jeudi 5 novembre 2015
Des couilles volantes
Alors que les GAT sont très mobiles et furtifs, l’armée de l’air s’adapte et tire parti des capacités de
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mercredi 4 novembre 2015
Au Balargone, les milis inaugurent hausses et délais
Alors que François Hollande doit venir formellement inaugurer le Balargone, ses occupants -ils sont
mardi 3 novembre 2015
Les 30 premiers (actualisé)
Comme ce blog l'expliquait il y a quelques jours, JYLD remettra demain la nouvelle médaille de la
Le GAN devrait appareiller après la mi-novembre
La date a changé plusieurs fois, dpeuis que l'on sait que le groupe aéronaval (GAN) va repartir en
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Selon Jacques Feytis, DRH-MD, le nombre de dossiers de pensions militaires d'invalidité (PMI)
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Pas toujours bien comprise par les militaires déployés en opex, la présence de prévôts permet aussi à
Le mindef étend la protection des blessés (actualisé)
Nathalie Leclerc, directrice adjointe aux affaires juridiques du ministère vient de détailler une partie
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lundi 2 novembre 2015
L'armée de terre déployée : combien et où ?
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Airbus Defense & Space recevait la semaine dernière des représentants de la presse mondiale (dont
dimanche 1 novembre 2015
Hélicoptères : pourquoi JYLD n'est pas content
Il fallait se plonger au coeur de la discussion budgétaire pour l'entendre le dire, mais le ministre de la
Droit et opex : un cas pratique
Alors que le ministère de la Défense tient un colloque au Balargone ce lundi sur le Droit et les opex, à
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