"Personne ne veut de coupures homothétiques, cela ferait courir le
risque d'avoir des armées qui perdraient leurs capacités (...) Il vaut
mieux avoir le courage de dire que sur tel point on ne fera pas mais
qu'on se garde une capacité intacte sur tel autre point, plutôt que de
raboter un peu partout".
Jean-Marie Guéhenno, à Sciences-Po (source Reuters).