"Il s’agit en fait de s’en tenir à une règle très simple : personne ne peut ni ne doit commettre l’indéfendable, personne ne peut ni ne doit défendre l’indéfendable, car le jour où nous aurons besoin de défendre le défendable, nous aurons perdu notre âme et ne serons plus crédibles. En opérations comme au quartier, l’esprit de corps, lui aussi, a ses limites. L’esprit de corps n’est pas là pour protéger ceux qui ont franchi la ligne ! Je relève encore trop de comptes-rendus initiaux imprécis comme si le premier réflexe était de cacher ou minimiser. Or tout finit par se savoir". (souligné dans le texte)
Elrik Irastorza, CEMAT, 22 octobre 2010, devant les présidents des officiers.