Les journalistes qui se lèvent tôt en ont été pour leurs frais, ce matin, à Lisbonne (1). C'est qu'à l'OTAN on ne peut pas imaginer qu'un journaliste se lève tôt pour faire son papier sur le sommet qui s'ouvre le jour-même, et le transmettre depuis le centre de presse monté pour l'occasion. Les confrères qui ont fait sonner leur réveil ont donc trouvé les portes du centre de presse de l'OTAN parfaitement closes.
Un centre de presse parfaitement achalandé par ailleurs en boissons sucrées. Le sucre, c'est connu, c'est comme la musique, ca adoucit les moeurs.
Précision utile, pour que les journalistes ne passent pas pour des prima donna, ce centre de presse devait être ouvert 24/24h, à compter de jeudi, c'est à dire hier.
(1) qui de surcroît avait la chance de produire une fantastique pluie battante semble-t-il. J'ai peur pour les papiers de la journée... :))