Les conditions particulières créées par le coronavirus, avec la quasi-disparition du transport aérien
mais aussi peut-être des difficultés dans le secteur hôtelier et, potentiellement, le devoir de solidarité du minarm envers ses propres ressortissants ont amené à des réponses assez inhabituelles.
Des civils, en nombre total inconnu, ont été pris en compte dans des enceintes militaires, dans le cadre de l'opération Résilience, à la demande des autorités administratives civiles. C'est le cas dans le Pacifique, mais aussi en océan Indien.
La prolongation du confinement, mais aussi peut être le besoin d'héberger des renforts (militaires, forces de sécurité intérieure) venus de métropole limitent, par essence, le volume qui peut être accepté.
D'autant plus que les forces outremer ont dû replier une partie de leurs emprises dans la décennie écoulée.
A ce stade, on n'a pas connaissance, par contre, de cas de ce type dans les bases Françaises à l'étranger, que ce soit en Afrique ou dans le monde arabe. Comme pour l'instant, on n'a pas eu connaissance de mouvements hostiles vis-à-vis de ressortissants Français dans ces pays. Un risque néanmoins patent.
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