Le DGGN a passé la semaine en Afghanistan, où opèrent environ 200 gendarmes français, dans des tâches d'appui à la TFLF, ainsi qu'en POMLT et en instruction (1). On ignore son emploi du temps précis, néanmoins, on peut penser qu'il a pu croiser des représentants de ces trois grandes fonctions. La France entend pouvoir encore plus développer le soutien apporté à la police afghane, alors qu'elle a aussi annoncé le début du retrait de ses moyens militaires.
Le DGGN n'est pas le premier général de gendarmerie à aller au devant des gendarmes, en Afghanistan : le général Denis Favier y avait passé du temps, il y a quelques semaines.
Plusieurs gendarmes ont été blessés par l'explosion d'un IED, en Wardak, le mois dernier.
(1) le prochain hors-série de RAIDS consacré à 10 ans d'Afghanistan illustrera ces différentes dimensions, notamment celle,cruciale, d'un technicien d'identification criminelle oeuvrant au sein d'une équipe WIT, à Bagram.