On l'a vu vendredi, avec plus de 700 sorties de reconnaissance, rien que l'armée de l'air a fourni une part non négligeable du renseignement image de l'OTAN, et d'autant qu'une partie de ce volume a aussi permis de tasker plus rapidement la chasse.
Mais c'est aussi le hic de l'affaire, avec beaucoup plus de volume, c'est au niveau des interprètes-photos que cela coince, et pis encore, des analystes, qui traduisent le renseignement en cibles.