Les avions français déjà engagés protègent déjà contre des attaques sur la ville de Benghazi, vient d'assurer Nicolas Sarkozy, à la sortie de la réunion qui s'est tenue à Paris. Il n'a pas, par contre, évoqué explicitement les missions de reconnaissance en cours, qui ont été, avant son discours, évoqués par une source militaire non identifiée.
Le président de la République a aussi cité un exemple précis d'usage de la force contre des moyens au sol -une colonne de chars- ajoutant que des avions était placés en astreinte en France pour traiter ce genre de menace.
Pour des raisons évidentes de confidentialité, il n'y pas livré de détail supplémentaire sur les opérations en cours, et n'a pas, non plus, cité de calendrier des évènements qui doivent suivre.