On devrait connaître d'ici quelques jours le rapport d'étape sur la FINUL, cette force internationale placée en tampon au sud-Liban. Néanmoins, après une réforme interne du dispositif, il y a deux ans, il y a fort à parier que dans le climat économique dépressif, il soit désormais de plus en plus difficile de trouver des contributeurs.
Régulièrement, le niveau de contribution française (1.300 soldats) interpelle, et devrait êter revu à la baisse.
Le précédent CEMA avait déjà fait sortir la France du dispositif naval, le jugeant inutile.
Ce théâtre reste encore le 2e de l'armée de terre, en effectifs. Et, selon les critères de risque défini par l'EMA, le 2e, directement après l'Afghanistan.