La prochaine étape doit être atteinte dans quelques semaines selon AM, avec des transferts de carburant. Pour la France, l'enjeu est énorme, car comme les années qui viennent de s'écouler l'ont assez justement illustré, il s'avère particulièrement difficile de disposer de tankers, européens ou américains, pour contribuer à la formation et l'entraînement des pilotes de l'armée de l'air. Et dans ce contexte, on voit mal comment ces partenaires pourraient faire encore plus d'efforts pour des opérations réelles, d'ailleurs souvent marquées par le sceau du secret.
(vidéo fournie par Airbus Military)