Tant le patron de Sangaris que le ministère de la défense ont, ce matin encore, refusé de chiffrer l'ampleur du
sinistre. Mais selon une évaluation de l'armée de terre, ce sont 1.500 de ses militaires basés en Centrafrique qui sont touchés, actuellement, par des soucis de fonctionnement de Louvois.
Soit la quasi-totalité des ressortissants de l'armée de terre en Centrafrique.
A contrario, des personnes de retour de Bangui continuent à percevoir l'ISSE comme s'ils étaient à Bangui.
Pour l'instant, aucune sanction n'a été prise dans ce dossier, depuis le début des bugs, en 2011. Malgré les dizaines de milliers de victimes concernées.