
Comme c'est la fin de la semaine, soyons légers. Cette disparition est :
A-une disparition diplomatique (effectuée à la palette graphique), destinée à ménager les susceptibités (l'armée de l'air faisant la une, et puis quoi encore...).
B-le résultat d'une opération commando de l'association de lutte contre les pics de crête des réacteurs à double flux (ALCPCRDF) dans une des bases les mieux sécurisées de France.C- l'effet du vent et de la malchance : l'autocollant "armée de l'air" s'est décollé juste avant que la photo ne soit prise.
D-un problème technique dans la production d'armées d'aujourd'hui.E- de la pure mauvaise foi, monsieur Tanguy, il n'y a que vous qui ne voyiez pas la mention armée de l'air sur ces papillons.
F-en fait, c'est un ravitailleur américain sur lequel on a collé l'autocollant des FAS (merci à AJ pour cette suggestion qui m'avait échappé...)
Les papillons d'origine, avec la mention armée de l'air nettement visible (crédit : armée de l'air)
(1) la disparition a aussi touché les pages intérieures, et trois autres photos du même type ont perdu, elles aussi, la mention "armée de l'air".
Post-scriptum : le groupe aérien embarqué est même donné, dans l'article consacréà Harmattan, à 28 appareils, soit six de plus que la réalité : 8 (puis 10) Rafale, 6 SEM, 2 E-C, et six hélicoptères, dont trois Air.
Post-scriptum : le groupe aérien embarqué est même donné, dans l'article consacréà Harmattan, à 28 appareils, soit six de plus que la réalité : 8 (puis 10) Rafale, 6 SEM, 2 E-C, et six hélicoptères, dont trois Air.