Déjà doté d'un directeur, Polyechnique aurait pu avoir également un président dès mardi soir. L'histoire s'est jouée à l'assemblée nationale en commision, puis dans l'hémicycle. Le ministère de la défense avait introduit un "cavalier", un amendement dans un texte, sans le moindre lien avec ce dernier puisque le projet de loi évoquait les... ventes d'armes. Coincé dans le texte figurait donc la proposition de créer un poste de président pour la célèbre école.
Devant la tiédeur des députés, le ministère a semble-t-il retiré, finalement, son cavalier dans le texte présenté dans l'hémicycle (1). A suivre...
(1) que je n'ai pu consulter.