devenus 800, si bien que pendant que les orateurs de la table ronde consacrée à la lutte contre le terrorisme se succèdent, l'intendance tâche de faire rentrer tout ce monde.
Le Français Pierre De Villiers a été deux fois applaudi, tenant en cinq minutes sa vision du sujet en Afrique. Sans vraie surprise, il a appelé à "un meilleur partage du renseignement", du travail en perspective donc pour les spécialistes du sujet présents dans le grand auditorium : le patron de la DRM Christophe Gomart -le seul qui dépende du CEMA-, celui de la DPSD, Jean-François Hogard, et le coordonnateur national du renseignement, Didier Le Bret.
Ce meilleur partage devant être la voie pour mieux parer les modes d'action terroristes qui se diversifient, jusqu'à comprendre les attaques et cyber et l'influence, en plus du cinétique pur (IED, mines, snipers, embuscades, etc).
