J'ai pu visiter le chantier du Balardgone ce matin. Je ne suis pas un spécialiste du BTP, aussi n'ai-je pas pu
réellement juger de la difficulté du travail, mais pour passer régulièrement dans le quartier, on peut constater que ce chantier aura poussé vite, même si la date de livraison a glissé de plusieurs mois. L'équipe de réalisation ne lie nie pas, mais constate, elle aussi, que tout est allé plutôt rapidement.
La maquette qui avait gagné le concours du ministère de la Défense, exposée au troisième étage du vrai Balardgone.
Les normes de construction anti-terroriste donnent, sous certains aspects (ici côté Seine), un côté blockhaus à la construction. Bien des contraintes ont été prises en compte, la plupart restant confidentielles.
Deux des grands subordonnés -le futur CEMA et le SGA, de dos- autour de leur ministre, repèrent les lieux.
Cette fontaine n'existera plus dans le Balardgone, une fois achevé. L'eau a son rôle à jouer dans cette partie du Balardgone : puisée à 45 mètres, elle constitue une forme d'énergie géothermique.
Le gros oeuvre est quasiment achevé, explique-t-on, reste l'aménagement, et ce n'est pas forcément le plus facile.
La structure sur pilotis n'a rien à voir avec le risque d'inondations liée à une crue centennale explique-t-on sans rire : ce serait pour permettre aux usagers de mieux d'orienter !