La filière communication de la Défense tenait son congrès annuel ce lundi à l'école militaire. Outre
l'expérience de mon camarade Didier François sur les opex, les centaines de présents ont entendu parler de réductions d'effectifs, mais sans vraie révélation sur ce qu'ils savaient déjà. Si elle continue à recruter, la com' le fait de moins en moins. Elle doit faire aussi avec de nouveaux et puissants moyens techniques, comme l'Iphone.
En Ile-de-France, l'effectif va tomber sous la barre des 300 (tous services confondus), c'est un effet direct du Balaragone. En 2018, comme anticipé, l'effectif-cible est bloqué sur 650-680.
En l'occurrence, la filière communication aura résisté, mieux que prévu, à ceux qui l'auraient bien vu rendre plus vite plus de postes pour contribuer à l'effort général.
Impossible de l'avoir manqué non plus, le journal de la défense a perdu sa présentatrice, revenue à ses premiers amours. C'est une voix off -féminine également- qui la remplace.