Il est toujours "trop cher" même si on estime, au minarm, qu'il remplit le "besoin militaire" Français.
Un glissement, pas forcément fondé, qui entre-ouvre une porte dans la relation difficile du minarm avec Airbus sur le dossier du successeur désigné des Reaper. Arrivant au plus tôt dans 8 ans, l'engin ne fera pas mieux en autonomie que le MQ-9 actuel, et donc deux fois moins que le MQ-9B.
L'emport d'armements est aussi placé sous le signe du point d'interrogation.
Le minarm veut aussi obtenir des garanties, qu'on voit mal qui pourrait les lui donner, sur une impossibilité d'accident industriel comme ceux que le programme A400M a connus, en termes de coûts, mais aussi de surprise dans la mise en oeuvre, le MCO, ou les performances non atteintes.
Bref, on est encore loin d'une signature. Dans ces conditions en tout cas.
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