L'A400M affecté en Polynésie pour un mois a terminé sa mission sur place, et l'Atlas envoyé aux
Antilles n'y passe que quinze jours. C'est que le tempo est déjà très haut pour ce parc encore touché par une disponibilité insuffisance, alors que les relèves arrivent à grand pas comme expliqué ici.
Les Atlas sont les plus aptes à des relèves sur position, ce qui limite le risque de contagion du virus. Seulement, les mesures de distanciation sociale dans les avions vont limiter grandement la capacité d'emport, et donc augmenter à la fois le nombre de rotations nécessaires, ainsi que les mandats des militaires sur place (des augmentations de 50% ont déjà été constatées depuis le covid-19...).
En outre, elle va potentiellement accélérer la consommation de potentiel disponible, donc augmenter la survenue des visites périodiques, dans un système déjà embouteillé. Le tout pouvant aussi impacter le processus de formation des équipages.
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