Avec le covid-19 et ses effets dépressifs sur l'économie, dont celle de la défense, la minarm a mis en
place une task force d'une cinquantaine de spécialistes chargés de sonder la BITD fragilisée pour ue bonne part. En coordination avec les armées, pas moins de 400 lignes de besoins ont été identifiées : hic, elles reviennent à 10 fois plus cher que les fonds mobilisables simplement, par refléchage basique des euros.
Il va donc falloir trancher, donc faire des mécontents, que ce soit dans les armées et dans l'industrie. Conscients qu'il va quand même tirer pas mal d'épingles du pied, le minarm veut aussi des garanties en matière de délais de livraison.
Le minarm s'inquiète aussi des razzias possibles sur la BITD par des fonds étrangers, un risque déjà souligné par votre serviteur.
Un entretien entre la minarm et Bruno Le Maire est prévu, notamment sur ce sujet, cet après-midi.
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