La direction générale de la gendarmerie organise ce 23 novembre des rencontres B to B face à 150 de
ses fournisseurs actuels et potentiels. En précisant ses besoins, la DGGN escompte vraisemblablement susciter de meilleures réponses, mais aussi rencontrer de nouveaux partenaires, pas forcément tous des fournisseurs actuels du ministère de l'Intérieur. En customisant des produits existants, il est aussi possible d'être plus réactifs et d'optimiser les ressources de R&D.La DGGN envoie des responsables de l'innovation participative, un domaine dans lequel les gendarmes sont très actifs pour ne pas dire hyperactifs. On peut citer entre autres un laboratoire mobile de police technique et scientifiques, mais aussi des outils de la brigade numérique, des chasubles connectés, des modélisations 3D de scène de crimes ou encore une pompe pour capter les odeurs. Des pistes prometteuses sont aussi en cours de développement pour faciliter les captations d'empreintes palmaires
Cédric Villani présentera sa vision du futur. Les chefs du Comcyber (GDI Marc Boget) et du GIGN (GBR Ghislain Réty) sont aussi annoncés pour préciser leurs besoins. Le GIGN est un des gros contributeurs à l'innovation en gendarmerie, dans une multitude de domaines. Le général Réty vient de créer une division technique pour organiser sa filière en interne.
La DGGN en profitera pour remettre les trophées des innovateurs de 2020 et 2021, et tenir son conseil scientifique avec ses grands partenaires que sont l'Onera, le CNRS, la DGA et la conférences des grandes écoles et des universités.
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