En l'absence du ministre d'Etat -avec le président, en Inde- et d'un secrétaire d'état à la Défense (SEDAC, disparu dans le dernier remaniement-, c'est finalement le garde des Sceaux, Michel Mercier, qui présidera, dimanche, la cérémonie d'hommage aux morts pour la France pendant la guerre d'Algérie et les combats du Maroc et la Tunisie.
Le recours à l'ancien député Arthur Paecht avait été évoqué comme personnalité qualifiée pour entretenir le lien avec les anciens combattants, peu de temps après la nomination d'Alain Juppé, à la Défense. Mais cette hypothèse ne semble pas cette affermie, depuis.
Les multiples engagements d'un ministre de la Défense -visites sur les théâtres, entretiens diplomatiques et soutien aux exportations- ne manquent pas, tout comme les cérémonies de commémoration et d'entretien de la mémoire. Aussi, cette situation semble difficilement tenable, sur la durée.