"Nous ne cherchons pas qui vous informe. Ce serait un très mauvais
calcul (...) On découvrirait souvent que c'est du plus haut niveau que
l'information vient."
François Hollande aux journalistes, cité dans le Point.fr., lors de ses voeux à la presse, le 16 janvier.
En son temps, Nicolas Sarkozy avait, lui, dit ceci sur un sujet presque identique :
"Expliquez-moi,
quel est l'intérêt, pour un homme doté d'un bon sens minimum, d'avoir
cette idée étrange d'écouter un journaliste qui écrit tous les jours
dans la presse, quel est l'avantage ? (...) Jamais, à aucun moment,
d'aucune façon, je ne me préoccupe, de près ou de loin des téléphones,
des lieux, des rencontres des journalistes français et étrangers".
Nicolas Sarkozy, sur France 2, le 20 novembre 2010