Après des débuts un peu longs, l'armée de l'air a pris sa vitesse de croisière en matière de drones de
toutes tailles. Dernière acquisition, un minidrone aérien déclenchable sur alerte, logé dans un caisson où il peut aussi se recharger automatiquement à l'issue de la mission. Ce type d'appareil est optimisé pour la force protection des bases aériennes, mais peut aussi convenir à d'autres usages militaires.
C'est la société DPS qui a gagné les faveurs du centre d'expertise aérienne militaire (CEAM). Au bout de six mois d'expérimentations, les aviateurs pourraient acquérir cinq autres systèmes, assure la direction de la startup, qui emploie désormais 10 salariés.
D'autres drones caissons ont déjà été vendus à un industriel et des sociétés de sécurité, assure-t-elle aussi.
La station de contrôle peut assurer la mise en oeuvre de plusieurs drones aériens, mais aussi de robots terrestres. DPS dit s'être allié pour cela avec la référence en matière d'engins de ce type, le Rochelais Shark Robotics.
Mes infops et photos sur le twitter @defense137.