Le ministère de l'Intérieur a fait fermer une page ouverte sur Facebook par des fans du tueur de Toulouse, que j'évoquais dans un post précédent. C'est l'OCLCTIC (office central de lutte contre la criminalité liée aux technologies de l'information et de la communication), dépendant de DCPJ (la direction centrale de la police judiciaire) qui est entré en rapport avec Facebook Europe pour faire fermer ce compte qui avait déjà reçu plus de 400 "like".
La charte de Facebook prohibe d'ailleurs ce genre de propagande. L'OCLCTIC semble avoir été le plus rapide.