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mercredi 27 mai 2020

Exclusif : Safran a dévoilé sa nouvelle boule à la minarm

On l'a appris grâce à des tweets enthousiastes de la société aéronautique, la minarm est allée visiter

vendredi 6 décembre 2019

Un crash de drone (de plus)

Un drone Patroller encore en essais avec la DGA s'est écrasé cet après-midi à 15h58 dans une zone

jeudi 4 avril 2019

Le fabriqué chez nous reprend du terrain

C'est une des tendances du Sofins 2019, les industriels français, petits comme gros, ont commencé à

lundi 4 juin 2018

Safran-Massy a 70 ans

L'établissement de Safran à Massy soufflait aujourd'hui ses 70 bougies. A l'origine l'usine historique

mardi 27 février 2018

La défense de Safran explose

Les activités défense (ex Sagem) de Safran prennent un +8,6% en 2017 par rapport à 2016, apprend-

vendredi 7 juillet 2017

Les boules dans le ciel

A chaque 14 juillet, elles sont là pour éclairer le commandement et les télespectateurs, des boules

lundi 12 décembre 2016

Safran va soutenir le Caïman pendant 10 ans

Alors que côté cellule, l'actu est un peu difficile pour le NH90 en France, côté moteurs, c'est

lundi 28 novembre 2016

Chammal : la conso de bombes x 3

Nouveau signe du niveau d'engagement de la chasse française, la consommation de bombes guidées à

mercredi 12 octobre 2016

Un Français à la tête du GEIE Europrop

Le Français Christophe Bruneau est le nouveau patron du GEIE Europrop international (EPI), la

jeudi 1 septembre 2016

La cinquième vie de Safran-Fougères

Le ministre de la défense et président de la région Bretagne visitera demain l'établissement de Safran

jeudi 4 juillet 2013

Un conseiller militaire chez Safran


William Kurtz a été drille au 2/33 Savoie puis a commandé le 1/3 Navarre. On le voit ici en place arrière d'un Rafale à Djibouti (photo ADC Receveur / BA188).



Le général William Kurtz (53 ans), ancien leader de la patrouille de France, puis COMFOR des FFDJ à

mardi 18 juin 2013

La fin pour le 8e RA, le début pour Safran (actualisé)

Le 8e RA va fermer ses portes dans une poignée d'heures, et son drapeau devrait rejoindre l'école de

lundi 13 mai 2013

Nexter veut faire parler la (les ?) poudres

Le leader français des systèmes terrestres Nexter et le chimiste SNPE ont engagé des discussions pour

mardi 23 avril 2013

Turboméca en solo

C'est sa maison-mère, Safran, qui l'annonce. Turboméca va poursuivre seul la production du

jeudi 17 janvier 2013

Après l'OTAN, Safran

Il ne sera resté que deux mois inoccupé. Le général Stéphane Abrial, ancien chef d'état-major de l'armée de l'air puis SACT à Norfolk a pris début janvier une fonction de conseiller du président de Safran, Jean-Paul Herteman.
Le groupe était conseillé jusqu'alors un autre ancien aviateur, le général Beaudoin Albanel, ainsi qu'un consultant extérieur, le VA Olivier de Rostolan, ancien patron de l'aéronautique navale et de la DSAe.
Chez EADS France, c'est un autre marin qui conseille : le VAE Xavier Païtard, ancien directeur du cabinet militaire de MAM puis d'Hervé Morin.

lundi 14 janvier 2013

Serval, en mode politico-militaire (actualisé-1)

Comme c'était prévisible, le ministre de la Défense n'accompagne plus le président de la République, qui part deux jours en voyage d'Etat aux Emirats Arabes Unis. Il sera par contre cet après-midi comme prévu sur un site Safran pour dérouler sa séquence industrie de Défense.
Dès ce soir, le premier ministre recevra, lui, des élus pour les tenir au courant de l'opération Serval, et conforter l'assise politique qui ne s'est pas encore fissurée (question de temps ?).
Enfin, c'est désormais mercredi matin (à 10h30) que les parlementaires de la commission de défense et des affaires étrangères de l'assemblée auditionneront les ministres concernés. Illustration supplémentaire de la volonté du parlement -et notamment de la présidente de la commission de Défense, la socialiste Patricia Adam- de mieux montrer son travail, l'audition sera ouverte à la presse.

lundi 30 janvier 2012

Sofradir : Thales et Safran seuls maîtres à bord (actualisé-2)

C'est un effet de la lente restucturation du secteur optronique français... et, il ne faut pas l'exclure, du recentrage d'Areva sur son coeur d'activité : le groupe nucléaire, qui détenait 20% de Sofradir, l'a revendu à ses deux comparses, Thales et Sagem, qui détiendront chacun, désormais, 50%. Sofradir, fabriquant de détecteur infrarouge est une perle de l'optronique française, plaçant ses composants dans toutes les équipements infrarouges : autoridrecteurs, caméras, mais aussi équipements spatiaux.
Entre autres programmes, Sofradir a fourni des détecteurs sur le missile de croisière Scalp EG de MBDA, la caméra infrarouge Sophie et le pod de ciblage Damocles de Thales, le détecteur de veille infrarouge Artemis des FREMM de DCNS, ainsi que le système SADA II installé sur les Bradley et Abrahams américains.
La société, créée en 1986, a donc même placé ses produits aux Etats-Unis, une réussite suffisamment rare pour ne pas avoir été, jusqu'à maintenant, vraiment soulignée.
Son chiffre d'affaires atteint 150 MEUR, pour 550 salariés, pour l'essentiel basés dans l'Isère.
Thales emploie 2.700 salariés dans le monde dans l'optronique, pour un chiffre d'affaires oscillant entre 600 et 700 MEUR. Selon Safran, le chiffre d'affaires optronique de Sagem représentant 52% du total en 2010, soit 624 MEUR.

mardi 15 février 2011

Fâcherie franco-mexicaine : quelles conséquences ?

La soudaine escalade entre la France et le Mexique, autour du pourrissement du dossier de Florence Cassez, aura-t-elle des conséquences dans le domaine de la défense ? Plusieurs industriels sont intéressés à cette actualité un peu dure, comme Safran (1) et EADS, qui ont investi dans le pays. Le groupe européen avait prévu d'investir jusqu'à 500 M$ dans une usine venant renforcer sa station-service pour hélicoptères : c'est en tout cas ce qu'en attendaient les autorités mexicaines.
Ceci, à la faveur des positions du groupe dans le secteur pétrolier, mais aussi, désormais, dans le secteur gouvernemental. Le président mexicain vole en effet sur des hélicoptères français, et ses forces spéciales feront bientôt la même chose...
La France espérait bien consolider encore le parc, avec d'autres ventes de Cougar (2) -le nom local du Caracal- et du Panther, engin qui fait merveille, dans notre marine, pour lutter contre les narcos.
C'est bien sûr aussi dans ce dernier domaine que la France voulait développer une coopération authentique avec le Mexique, avec aussi, sans arrière-pensées, l'idée de placer aussi quelques bateaux.
Ces promesses de coopération et de contrats survivront-ils à la mauvaise humeur mexicaine ?

(1) Safran réalise au Mexique une activité essentiellement civile, intéressante, car placée, dans une zone à bas coûts salariaux, non loin des Etats-Unis.
(2) la France n'avait refusé aucun sacrifice, convoyant même des précieux Cougar -bien des Cougar français- pour un défilé de la fête nationale mexicaine, l'an dernier.

mardi 9 novembre 2010

Un win win dans le MCO français

Un M-88 aux essais dans une des installations les plus compactes disponibles : le PACDG (crédit : Jean-Marc Tanguy).

Snecma et le SIAe allient leurs forces pour apporter plus de « réactivité, plus de disponibilité » et une facture moindre dans le maintien en conditions opérationnelles (MCO) de trois modèles de propulseurs.
Il s’agit du M88, réacteur du Rafale (200 pièces en service), du M-53 du Mirage 2000 (400 environ) et du futur TP400 qui motorise l’A400M. Concrètement, l’accord vise à mettre en place toutes les solutions et de faciliter les échanges pour mieux répondre aux besoins des forces françaises, et aux utilisateurs d’aéronefs français.
Le SIAe avait déjà conclu un accord-pilote de ce type avec un hélicoptériste, lors du salon Eurosatory.
Mais l’accord du jour, qui prône des « solutions innovantes d’organisation industrielle » va bien plus loin, d’abord parce qu’il réconcilie deux entités longtemps rivales. Le SIAe assure à Bordeaux l’entretien des moteurs utilisés par les armées, alors que Snecma a été traditionnellement écarté de ce domaine, et devait se contenter du marché export.
Il en résultait des doublons d’investissement et de capacités. « La France ne peut pas se payer deux systèmes en compétition et qui ne se parlent pas », constate Didier Desnoyer, le directeur des moteurs militaires chez Snecma.
Didier Desnoyer et Christian Chabbert, patron du SIAe sont à l’origine de cet accord. Ils étaient sortis ensemble de Sup-Aéro, il y a tout juste 31 ans. Et avaient lancé l’idée d’un accord dès le mois de novembre 2009, incarné dès avant l’été par un document qui convenait aux deux parties, qui a donc permis de commencer à travailler avant la signature formelle d’aujourd’hui.
Concrètement, tous les six mois, les deux partenaires se réuniront pour faire le point sur leur charge de travail, et les éventuelles façon de mieux répondre aux besoins de leurs clients.
Parmi les synergies possibles, un des partenaires pourrait profiter d’expertises, ou de techniques détenues par l’autre. Snecma fournit déjà, dans le cadre d’un contrat-cadre, le SIAe en pièces de rechanges. Ce contrat notifié au premier semestre 2010 permet aux armées, directement sur leurs bases, ou au SIAe, de disposer des rechanges au juste nombre et dans le meilleur délai.
Un board des utilisateurs militaires (Sycomore), dans lequel siège Snecma, permet déjà de mieux anticiper les baisses de disponibilités des matériels, et donc, d’apporter les réponses préventivement, et donc, non plus seulement après-coup.
Le chef d’état-major de l’armée de l’air, le général Jean-Paul Palomeros, venu en personne applaudir à l’initiative du jour, a constaté que sans les mesures déjà lancées, la situation aurait été bien plus difficile sur le front du MCO.
La forte présence de représentants étatiques souligne l’extrême intérêt de l’administration et des armées pour une meilleure disponibilité. On notait, ce matin, entre autres, la présence du contrôleur général Louis-Alain Roche, ancien directeur de programme à la DGA et responsable de la MMAe, manifestement moteur sur le sujet du jour, mais aussi de l’IGA Patrick Dufour, lui aussi ancien DP Rafale, actuellement responsable du service du maintien en condition opérationnelle de la DGA, et du général Eric Rouzaud, sous-chef organisation de l’EMA, représentant le CEMA, excusé.

dimanche 7 novembre 2010

Le SIAe pourrait englober la Sécurité civile

Parmi les différentes pistes d'évolutions du service industriel de l'aéronautique (SIAe), le député et rapporteur Air Jean-Claude Viollet estime qu'il pourrait englober les capacités d'entretien actuellement intégrées à la sécurité civile, notamment à Nîmes (visites d'EC145).
Le SIAe doit déjà, au 1er janvier 2011, créer un cinquième atelier industriel de l'aéronautique (AIA) multisites, en Bretagne, avec les capacités actuellement déployées par la marine sur ses bases aéronavales (NTI2). Cet AIA fédèrera 950 postes, aux deux tiers militaires.
Selon Jean-Claude Viollet, l'existence du SIAe, que certains voyaient bien disparaître ces dernières années, auraient permis à l'Etat d'économiser 472 MEUR en dix ans.
Le SIAe doit signer mardi un accord de coopération avec Safran, pour l'entretien des moteurs M53, M88 et TP400. Signe de l'importance du sujet pour la disponibilité des aéronefs que ces moteurs équipent, le CEMA en personne devrait présider la cérémonie de signature de l'accord.