Cela fait fait un peu titre d'un livre d'OSS117 ou de SAS et pourtant, c'est la stricte conséquence de la
multiplication des attaques d'IED et d'embuscades au Burkina : Barkhane doit passer sous blindage dans cette zone normalement très calme.
Depuis plusieurs semaines, la cadence d'attaque à l'IED est passée à une à deux par semaine. Et les GAT mènent aussi des attaques-surprise sur tout ce qui ressemble à un uniforme.
Des moyens blindés ont donc été redirigés sur cette zone, vraisemblablement depuis la Côte d'Ivoire, qui est un des réservoirs de forces et de matériels de la sous-région, car Barkhane a d'autres chats à fouetter plus au nord.
Pas de quoi alléger la facture de l'opération, alors qu'un conseil de défense devait précisément évoquer des allègements de cette facture, hier.
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