Les unités engagées dans l'opération Licorne ont vu leur mandat passer, par la force des choses, de quatre à six mois (au moins). C'est évidemment la situation de blocage et d'insécurité née de l'imbroglio électoral qui a conduit l'EMA à différer les relèves du dispositif implanté en Côte d'Ivoire, d'ailleurs récemment renforcé d'une compagnie, faisant passer le détachement de 900 à quelque 1.100 soldats.
Les présents appartiennent au 1er RHC, au 16e Chasseurs, et au 12e Cuirs, pour les unités conventionnelles.
Un TCD reste, par ailleurs, déployé en Corymbe, dans le Golfe de Guinée.