Avant leur départ en vacances, les personnels de la DICOD ont appris qu'à la rentrée, la direction qui
n'emploie pourtant qu'une toute petite centaine de personnels civils et militaires sera dotée d'un groupe de prévention sur les risques psycho-sociaux (RPS). Le travail sera chapeauté par la directrice et son adjointe.
Ce n'est pas courant, dans une structure de taille aussi réduite, qu'une telle structure soit créée, et sans raison apparente, mais évidemment, tout ce qui est mis en place pour prévenir de tels risques, et ses dommages pour les victimes, est une bonne chose.
En mai, les RPS dans le domaine de la com avaient fait l'objet d'une question écrite du député Cornut-Gentille, demandant non pas s'il y en avait, mais combien avaient été détectés par la cellule Témis depuis 2015.
A notre connaissance, le nombre de saisines récentes de Témis pour la DICOD serait particulièrement réduit, notamment dans la période récente. Mais on sait que les victimes des RPS rechignent en général à se signaler auprès de telles structures internes : ce chiffre très bas ne veut donc, en fait, rien dire de particulier.
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