Dans les deux cas, il s’agit de partager les meilleures pratiques entre alliés, dans un incubateur propice, afin de lutter contre le terrorisme.
Grâce aux cerveaux et à l’expérience opérationnelle ultra-riche cumulés des trois officiers de liaison issus du COS, du RAID et du GIGN, la formule carbure, avec un souci du détail. Et, dans le tableau, du bilatéral franco-ivoirien, de l’interallié, et de l’inter-administrations. Une approche globale incarnée dans déjà plusieurs sessions de formation, même si le covid a ralenti évidemment les déplacements des états souhaitant envoyer leurs experts.
L’AILCT est aussi un chantier de plusieurs tranches. La première est en train de s’achever, alors que l’académie va prendre une nouvelle dimension : décret, nouveau tour de financement pour permettre aux tranches suivantes de sortir de terre et internationalisation.
Le début est en tout cas bluffant, pensé par et pour des opérationnels, mais sans se cantonner, donc, aux seuls hommes de l’intervention. Renseignement, traitement judiciaire, interactions avec les chercheurs et sachants : l’AILCT mobilise toutes les bonnes pratiques et intervenants.
Ce matin, un aperçu des capacités du site a pu être capté, lors d’une présentation dynamique des forces spéciales terre françaises venant en appui héliporté des forces spéciales et forces de sécurité ivoiriennes. Des images à voir sur mon twitter @defense137.