Les Rafale de l'armée de l'Air n'assurent plus, désormais, que 50% de leur volume opérationnel dans les missions d’attaque, la reconnaissance pesant pour 40%. Plus inattendue, la mission d'escortes (sweep) de dispositifs d’avions représentant le solde (10%).
Difficile, encore, de bien mesurer l'explication de ce chiffre, qui n'est peut-être que conjoncturel : manque de cibles, manque d'avions de reconnaissance, manque de purs chasseurs. La seule chose qui ne semble pas (encore) manquer, ce sont les pilotes et les munitions.