poignée de journalistes invités par le le GICAT ont pu le découvrir brièvement en avant-première, aujourd'hui, au pôle judicaire de la gendarmerie nationale (PJGN) de Pontoise. Ce véhicule concentre ce qu'il y a de mieux en le domaine, et au PJGN, on assure qu'il n'a pas d'équivalent dans le monde. C'est en tout cas ce qu'en a dit le gotha de la profession réuni la semaine dernière en Espagne, lors d'un séminaire international.
Le véhicule est suffisamment compact pour pouvoir être projetés par un avion tactique en cas de besoin, et évidemment, par la route. Il permet de raccourcir les délais d'identification, ce qui bénéficie à l'enquête, et, incidemment, aux familles qui peuvent commencer leur travail de deuil.
L'identification criminelle est une spécialité bien connue de la gendarmerie. Parmi ses nombreuses affaires récentes, figure l'identification des victimes du crash du Germanwings (opération qui avait mobilisé aussi les montagnards et les hélicoptères de la gendarmerie, et des personnels de la 27e BIM).
L'IRCGN avait égalemet mobilisé ses personnels au Sahel, lors du crash de l'avion d'air Algérie, en juillet 2014. En permanence, deux équipes sont prêtes à être déployées en intervention.
Au total, le contrat opérationnel de l'IRCGN porte sur 600 victimes instantanées, soit le crash d'un gros porteur A380. Assez étonnamment, les capacités globales du PJGN n'avait pas été mobilisées après les attentats de novembre dernier.
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