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lundi 25 mars 2019

La Mauritanie recherche des ULM

C'est désormais officiel : la Mauritanie va revenir à l'ULM (cf RAIDS Aviation 40 et RAIDS n°393),

vendredi 23 novembre 2018

Un 14-juillet tournant

Et si le 14-Juillet n'avait pas lieu tous les ans au même endroit, mais à Tourcoing, puis à Tours, puis à

A N'Beket Laouach, face au Mali

C'est à N'Beket Laouach que s'installera le PC du fuseau ouest (Mauritanie-Mali) du G5 Sahel. Pour

La Mauritanie va voler chinois

La Mauritanie va acheter des drones MALE armés chinois. C'est la dernière parade pour sécuriser les

Le PR mauritanien déçu par Paris

Le président mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz veut faire évoluer la classification du quai

mardi 20 novembre 2018

Chameaux, radio, et... peut-être bien plus encore

Dans son style assez iconoclaste, la Mauritanie continue à investir pour améliorer la sécurité aux

dimanche 18 novembre 2018

mardi 20 mars 2018

A l'ouest (du G5 Sahel), du nouveau

Le gouvernement mauritanien a diffusé jeudi les décrets permettant de créer l'académie de la paix et

vendredi 23 février 2018

Le RSUE en immersion en Mauritanie

Alors que Frederica Mogherini s'exprime en cette fin d'après-midi sur le concours de l'UE au Sahel,

jeudi 9 janvier 2014

La France revient en Mauritanie

Un détachement d'instruction opérationnelle (DIO) armé par le 2e RIMa est actuellement réalisé en

dimanche 14 octobre 2012

Un blessé mauritanien à Percy (actualisé-1)

L'hôpital Percy, qui accueille mois après mois les blessés provenant des théâtres d'opérations de l'armée français a déjà reçu depuis quelques heures un blessé inattendu : le propre président de la Mauritanie, victime, selon la version officielle locale, du tir de ses propres troupes, alors qu'il voyageait hier soir presque incognito dans son pays. Il a reçu une balle dans le corps, et après une première opération à Nouakchott, il a été jugé préférable de l'accueillir en France dans un établissement à même de le soigner.
L'accueil de VIP étrangers n'est pas une première dans un HIA français. Souvenons-nous, notamment, de Yasser Arafat, chef de l'OLP.
A ce stade, on ignore comment l'autorité a bien pu arriver aussi rapidement en France et le ministère de la Défense "n'a pas de commentaires à apporter" sur ce sujet épineux : vraisemblablement, mais le gouvernement français ne souhaite pas l'officialiser, le blessé est arrivé à bord d'un avion militaire français (1).
La France maintient en permanence un Falcon médicalisé pour rapatrier les militaires français des théâtres d'opérations. Théoriquement, un 2e appareil reste mobilisable après l'envoi d'un deuxième, afin de maintenir la capacité ouverte.
246 militaires blessés ont été accueillis en 2011 à Percy, si l'on en croit la citation qui a récompensé l'engagement des équipes médicales de l'établissement.
La Mauritanie est un allié de premier ordre dans les opérations actuelles au Sahel. La France y a formé les forces spéciales locales, ainsi que des tireurs spécialisés, comme je l'ai révélé dans RAIDS n°316.

(1) Peut-être celui qui a récemment transporté en Afrique la ministre déléguée, a révélé le Canard enchaîné, à l'encontre des consignes d'économies de moyens aériens demandées par le premier ministre.

lundi 20 septembre 2010

Niamey direct (actualisé-1)

Trois ATL-2, les deux venus de Lann Bihoué vendredi matin, et celui de Dakar ont bel et bien été déployés à Niamey (Niger), confirment des sources françaises sur place. Ils ont quitté l'aéroport de la capitale ce matin et n'y sont pas revenus depuis. Un ATL-2 peut voler une dizaine d'heures. RFI, qui effectue une large couverture des évènements depuis la semaine dernière, assure qu'au moins 20 heures de vol ont déjà été enregistrées, et que cinq équipages complets sont présents dans le pays.
Des Mirage étaient également visibles hier. Un déploiement sur un aérodrome du nord du pays est vraisemblable.
On évoque aussi le transit, à Niamey, de près de 300 militaires, en provenance du Tchad, et leur "parachutage", dans la foulée dans une zone voisine. Un scénario évidemment non confirmé, mais plausible. On sait cependant que les recherches pédestres en plein désert, sans l'apport d'un moteur et de quatre roues, sont un exercice risqué.
On peut imaginer, cependant, qu'un tel déploiement ne peut pas être réalisé sans l'appoint de plusieurs avions de transport d'assaut : peut-être tous les Transall disponibles en Afrique (Gabon, Sénégal, Tchad, Djibouti), ainsi que des renforts venus de métropole, et d'autres appareils, utilisés à d'autres fins.
Par nature, ce type d'informations sont déjà naturellement difficiles à vérifier. Le black-out total choisi par le ministère de la Défense français n'arrangeant, dans ce cadre, évidemment rien.

dimanche 19 septembre 2010

La Mauritanie vole en Tucano de Salon (actualisé)

Les cocardes mauritaniennes et une livrée sable, sur cet ancien Tuc' de l'armée de l'air (crédit : DR).
Vraie vente, ou cession gracieuse -c'est l'expression idoine- au titre de l'aide militaire, la Mauritanie dispose depuis le début de l'été d'un premier Tucano, issu des stocks de l'armée de l'air comme l'a révélé Air&Cosmos, début septembre. Ces avions (1) servaient, auparavant, à la formation des pilotes, à Salon-de-Provence, ainsi qu'au respect des dispositifs particuliers de sûreté aérienne (DPSA, les fameuses "bulles").
Ces avions avaient cependant quelques défauts, parmi lesquels un entretien jugé prohibitif pour un avion de cette classe, et pas de capacité d'emport d'armement. Ce qui les a condamnés assez rapidement, dans le contexte budgétaire actuel.
Outre cet apareil, immatriculé 5T-MAT, l'armée de l'air mauritanienne disposerait d'un Basler BT-67 (un Dakota remotorisé), de deux Harbin Y-12 d'origine chinoise capable de se poser à peu près partout, de quatre SIAI Marchetti SF-260E livrés à l'été 2000 et de deux Harbin Z-9A (une copie sous licence du Dauphin).
Un deuxième Tucano a été livré en septembre, selon Air&Cosmos, et deux autres doivent encore rallier le Mali. Le Tchad serait aussi intéressé.
Pas forcément de quoi alimenter, cependant, une offensive grand style, d'où le recours, en juillet, au "soutien" français, pour les opérations qui avaient précédé l'annonce de la mort de l'otage français Michel Germaneau. Parmi lesquels il faut très vraisemblablement chercher des aéronefs français.

(1) D'ores et déjà, plusieurs anciens Tucano français ont été essaimés en Afrique.