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jeudi 28 juin 2018

Adieu aux armes, au revoir à Paris

Plusieurs se préparent cet été, mais le premier de la saison aura sans doute été le chargé d'émotion : le

mercredi 11 avril 2018

Le maître-espion suisse... qui venait de Paris

La lette d'informations spécialisée Le Monde du Renseignement le donnait favori : c'est fait, le

lundi 26 mars 2018

La Suisse reprend sa sélection de chasseurs

C'est tout chaud : la Suisse va tester l'an prochain les cinq chasseurs retenus dans le cadre d'une short

samedi 25 mai 2013

Des avions à hélices qui intéressent l'armée de l'air

Pilatus avait sorti le tapis bleu pour monter dans l'avion rouge : le PC-21, la rolls des trainers à hélice. (Photo Jean-Marc Tanguy)



Le ministre de la défense a fait une halte en début d'après-midi sur le stand Pilatus, dans la zone des

jeudi 1 décembre 2011

No Comment

(Ce dessin paru sous la plume de Chapatte était dans Le Temps, et fait évidemment référence à la victoire annoncée du Gripen suisse, un avion en kit)

mercredi 30 novembre 2011

A Berne, le drapeau tricolore en berne (actualisé-2)

La confédération helvétique devrait annoncer, sauf changement de dernière minute, la victoire du Gripen-NG suédois, en fin d'après-midi. Une conférence est organisée vers 16h30 : le Rafale faisait partie des candidats sérieux envisagés, et l'armée de l'air avait proposé la plateforme de Luxeuil pour faciliter l'entraînement des aviateurs suisses.
Cette victoire, qui vient d'être confirmée, interroge, cependant. Les aviateurs suisses avaient noté le Rafale en tête (et le Gripen-NG en bas de liste). Les pouvoirs publics suisses avaient aussi annoncé qu'ils achèteraient un avion en service, ce qui n'est pas le cas du Gripen-NG .
Enfin, le procès souvent fait à Dassault de ne pas travailler les dossiers de compensations n'a pas lieu d'être, puisque RUAG est partie prenante dans l'UCAV Neuron, et les réservoirs de carburant du Rafale sont faits par le même industriel. Ainsi, la Suisse aura, en quelque sorte, survolé la Libye, pendant Harmattan.
Par delà la différence de prix, qui ne devait pas directement entrer en ligne de compte, il faut peut-être trouver des explications dans des déclarations françaises pendant le G20, peu amènes envers la Suisse. Insulter un client potentiel, c'est toujours mal vu.
Dassault diffuse à 20h10 ce  communiqué (ce qui est plutôt rare après une décision de ce type), depuis Berne : "L’équipe Rafale a pris bonne note du choix des Autorités suisses pour l’acquisition de leurs futurs avions de combat. Elle regrette que le Conseil Fédéral, comme il l’a officiellement exprimé, ait « sciemment décidé de ne pas positionner la Suisse au plus haut niveau européen s’agissant des performances des nouveaux avions de combat ».
Les capacités du RAFALE permettraient à la Confédération Helvétique d’acquérir un nombre inférieur d’appareils pour répondre aux besoins opérationnels, à un coût équivalent ou inférieur, tel que démontré lors des évaluations des Forces Aériennes Suisses.
Le Gripen « helvétisé » n’existe que sur le papier. Son développement technique et sa production devraient accroître significativement les efforts financiers des Autorités Suisses pour la réalisation de ce programme.(...)."