Alors que la discussion parlementaire de la loi de programmation militaire commence, le député haut-
marnais François Cornut Gentille propose déjà sept amendements au texte, qui seront discutés, à partir de ce midi, en commission des finances. L'élu demande notamment que les futur service nationation universel ne soit pas financé par cette LPM, ce qui n'est écrit nulle part. L'inscrire dans le texte, dès l'article 1 est donc, pour lui, une précaution pas inutile.
Deux amendements doivent aussi permettre de faciliter le pouvoir de contrôle du parlement.
Dans un autre, le député donne un cours de maths et de finances publiques avisées au ministère, puisque le report de charges évoqué dans la LPM a été fixé en pourcentage d'un nombre inconnu. Il préfère y substituer des chiffres en valeur absolue, avec pour un objectif un maximum de 2,3 MdEUR en 2025, contre 2,9 en 2019.
Enfin, les deux derniers visent à inscrire dans le projet de loi les deux dernières annuités et les deux dernières provisions opex de la période 2019-2025.
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