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Thursday, November 14, 2013

Encore un enlèvement au Cameroun

Le business des otages reste une valeur sûre en Afrique de l'ouest. Un prêtre français a été enlevé hier

Sunday, October 27, 2013

Une note de lecture tout en sons

Interview par Olivier Fourt (RFI) sur mon livre "Commandos français, les missions des forces spéciales"

Tuesday, February 26, 2013

Des enfants-otages, pas une première

Le Premier ministre, puis le ministre de la défense encore ce matin expliquent que c'est la première fois que des enfants sont pris en otages par des terroristes. Rappelons néanmoins ces seuls exemples non limitatifs, que j'évoquais déjà sur BFM TV la semaine dernière. En février 1976, un bus entier d'enfants de militaires français est retenu à Djibouti. Le GIGN -c'est sa première mission à l'étranger- et le 2e REP sont chargés de leur libération qui intervient le 4. Mais les activistes qui retenaient les enfants ont le temps d'en tuer deux.
En 1993, une classe entière d'une maternelle de Neuilly et leur institutrice sont retenues par un homme seul, Human Bomb. Le RAID réussit à sauver les enfants, et neutralise le preneur d'otages, qui menaçait de tout faire sauter. Des enfants sont régulièrement pris en otages par les propres membres de leur famille lors d'affaires de forcenés.
En 2009, un enfant est retenu par des pirates avec ses parents et un ami du couple sur le voilier la Tanit, en Océan Indien. L'opération des commandos marine permet de libérer la famille, mais le père-skipper du voilier est tué dans l'assaut.

Wednesday, January 16, 2013

41 otages d'un coup ! (Billet)

Les groupes terroristes du Sahel continuent à remplir le réservoir aux otages. Dernier exemple en Algérie cette fois avec 41 otages capturés ce matin sur un site gazier de BP, vient-on d'apprendre. Des Français, mais aussi des Américains et des Britanniques figureraient dans le lot. Ce nouvel épisode, qui risque de mobiliser pas mal de monde dans les heures et jours qui viennent démontre bien le caractère régional de la crise malienne. On peut espérer, qu'après la sous-estimation des risques faite par des entreprises françaises de la région -notamment mais pas exclusivement au Niger-  les intérêts en question sont désormais mieux protégés.
Vu le niveau de violence des groupes terroristes, il faudra peut-être, d'ailleurs, s'en remettre à l'armée française pour mieux sécuriser encore plusieurs sites particulièrement sensibles de la région. Non seulement pour les minerais qu'ils hébergent, mais aussi, pour les otages potentiels que représentent les travailleurs français présents sur place.
Et même si c'est bien au-delà du politiquement correct, reconnaître que la libération d'otages restant un exercice particulièrement risqué pour ceux qui l'exercent, et pour les otages, les prisonniers qui pourraient être faits dans les rangs d'AQMI doivent aussi et avant tout... servir de monnaie d'échange.