La marine est la première des trois armées à avoir conçu un programme aussi global de monétisation de son image : le panel de produits est assez varié, du textile (avec Saint-James) au parapluie (Les parapluies de Cherbourg), en passant par les montres (Yema), des cartes postales et tirages d'art (avec les Editions La Martinière connues pour leurs livres), et même de la nourriture, de l'épicerie fine ou des boules énergétiques déjà utilisées par les commandos marine (MOS). Les voiles des voiliers d'instruction de la marine seront aussi recyclées en sacs.
En fait, une « kyrielle » de produits siglés, 67 au total. Le tout sous l’ombrelle d’un partenariat initié avec le licencier Publivoile, qui seront disponibles sur la boutique en ligne le 6 mai.
Six lignes d'eau ont été définies, reprenant la plupart des forces : de surface, sous-marines, commandos, marins du ciel, ainsi que deux entités emblématiques de la marine, le bagad de Lann Bihoué, et l'école des mousses.
Il est probable que les autres armées scrutent l’initiative, qui n’est pas totalement inédite, puisque l’armée de l’air fait déjà appel à un prestataire pour gérer la boutique de la patrouille de France, et réalise régulièrement des montres avec des horlogers. La gendarmerie s’est aussi très tôt intéressée à la génération d’euros avec son image, créant sa propre marque il y a quelques mois.
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