C'est un second maître objet de toutes les attentions : ce personnel de la marine est en charge de la
météo pour toute l'opération Barkhane, loin de toute étendue salée. Prévisions justes en l'occurrence : elle avait expliqué au général Palasset que le ministre pouvait se rendre à Madama (Niger) qui serait néanmoins balayé par l'Harmattan et des vents de sable.
Le Drian a en effet pu atterrir et redécoller avec un Transall des Boeufs (1), le 1er janvier, mais entre les deux, il régnait en effet un vent à décorner les boeufs (comme on dit dans le nord-Finistère).
La contribution de la marine à Barkhane ne s'est pas limitée à cette jeune femme : depuis janvier 2013, Serval a profité des avions de patrouille maritime ATL-2, de commandos marine, et de personnels spécialistes du renseignement.
(1) de l'escadron de transport 1/64 Béarn.