certains des défilants ont donc chanté à Satory comme l'illustrent des short cuts ci-dessous. Dans l'ordre, les marins, les aviateurs (qui parlent de paras), les médecins (qui chantent des biroutes en chocolat...), les infirmiers.
Certains ont même poursuivi sur leur lancée, ce matin, sur la Seine, à bord de La galère, un des bateaux mouches qui transportait les défilants en quartier libre -ou peut-être, en "after". Leur puissante Marseillaise en a réveillé les dormeurs...