d'Airbus Military dans le cadre des essais de largages de parachutistes (on reconnaît un EPC). C'est aujourd'hui une capacité prioritaire pour les Français, qui ont montré au Mali que le parachute est bien pratique, qu'il équipe un chuteur du COS, du GCP, ou encore, un para du 2e REP...
Dans l'immédiat, et comme je l'écrivais hier, des essais complémentaires doivent être réalisés pour des largages massifs par exemple. L'Atlas peut larguer jusqu'à 116 parachutistes, ce qui nécessite néanmoins des DZ plus longues, que ce soit pour les essais... ou les vrais opérations..
Des informations non officielles circulent depuis plusieurs mois sur les difficultés rencontrées par l'industriel pour le largage en ouverture automatique (OA), par les portes latérales, notamment pour ce qui concerne la procédure de récupération du parachutiste s'il reste suspendu à sa SOA. Les services officiels n'ont pas démenti.
Du côté d'Airbus Military, on explique qu'il n'y pas de problème. Mais il n'est pas non plus possible de participer à ces fameux vols, ou même, de les observer depuis le sol... En tout état de cause, les Français devront patienter plus longtemps que prévu, pour avoir cette capacité sur leurs Atlas.