Après sa mise à l'eau, en avril, la première FREMM, l'Aquitaine, est passée hier au bassin n°3 de l'arsenal de Lorient, pour y recevoir ses appendices. En l'occurrence, le sonar d'étrave (qui détecte l'activité sous-marine), les safrans (pour le pilotage) et le propulseur azimuthal rétractable (PAR). Ce dernier, signale un communiqué de l'industriel, permet de s'affranchir, au port, d'une aide extérieure, tout en assurant, en cas de déficience de la propulsion principale, une vitesse de cinq noeuds.